A découvrir sur la commune :
LE MUSEE NATIONAL CLEMENCEAU-DE LATTRE
Un musée constitué de deux maisons natales:- Maison natale Georges Clemenceau. Où il naquit le 28 septembre 1841, rue de la chapelle. Achetée par le ministère de la culture en 2005, elle devient en 2018 (année du 100ème anniversaire de son accession à la Présidence du Conseil) un lieu muséographique où le visiteur pourra découvrir les multiples facettes du « PERE LA VICTOIRE »
- Maison natale Jean de Lattre. Où il naquit le 2 février 1889. Elle est ouverte au public depuis 1975. C’est le type même de la maison familiale où tout est plein d’âmes, solide bâtisse carrée construite en matériaux du pays qui n’a pas beaucoup changée depuis 1889. Le ministère de la culture a mis à l’honneur cette maison par le label « Maison des illustres » le 13 septembre 2016.
Plus d'infos: http://musee-clemenceau-delattre.fr/
Les Rochers, la Colline avec ses Moulins à vents :
180 m d’altitude. 80 Ha. Dernier contreforts du bocage. Il y eu jusqu’à 18 moulins à vent sur la colline. Ils étaient utilisés pour communiquer pendant les guerres de Vendée.
Ils furent détruits au moment de la révolution par Westerman. En 1852, 14 ont été reconstruits.
Jean De Lattre avait acquis un moulin et une ruine de patauger afin d'avoir des biens mobiliers communaux, sur les conseils de Georges CLEMENCEAU.
Plus tard le patauger fut transformée en chapelle à la mémoire de Bernard (son fils).
Depuis 1991, le département de la Vendée est propriétaire. La Colline est alors reconnue Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique.
Les moulins furent restaurés.
La Fontaine et le Lavoir:
L’état actuel de la fontaine est dû à une restauration datant de la fin des années de 1980. Cette restauration intervient après celle de 1818.
Le bâti date du XVIII. La présence d’un système d’alimentation en terre cuite laisse à penser que son emplacement était le même au Moyen Age, et qu’elle pourrait dater de l’époque romane.
L'église Paroissiale St Hilaire :
L’église fait l’objet d’un aménagement de style gothique. Pendant les guerres de religion du XVIè siècle, elle est saccagée. Son apparence actuelle doit beaucoup au curé Basile Bonnet qui propose la construction en 1856 d’une abside et de deux absidales, de la crypte et de la 3éme nef. Cette restauration s’achèvera en 1865. La majeure partie du clocher fortifié pendant la guerre de 100 ans subsiste. C’est un édifice primitif de l’époque romane. Les mâchicoulis du XVème siècle, bien que mutilés sont encore apparents.
Le clocher a été classé « monument historique en 1978 »
Le carillon date de 1850 et est formé de 13 cloches.
Il est le 4ème carillon rural de France. Toutes les heures, un cantique approprié à la période liturgique retentit et à midi, des chansons profanes sont interprétées.
L’orgue a été construit en 1867 par le facteur d’orgue Le Logeais. Il a été restauré en 1995 par le facteur d’orgues Emeriau d’Angers.
Le Temple protestant :
En 1833 l’édifice est reconstruit sur l’emplacement d’un édifice démoli en 1665. La restauration s’achèvera en 1836. L'architecture est sobre, sans recherche ornementale.
L'intérieur est comme l'extérieur, austère et dépouillé : deux panneaux sont installés de chaque côté de la chaire, à droite le Notre Père, et à gauche des citations de Jésus
Le Monument aux Morts de Mouilleron-en-Pareds:
Encadré par 4 obus offerts par le Général de Lattre après la victoire de 1945. Il fut inauguré, le 9 octobre 1921 par le président du conseil Georges CLEMENCEAU et le jeune capitaine Jean DE LATTRE
Le 11 Novembre 1987 : face à ce monument, le Président F. MITTERAND appelait à l’union de tous les français en se référant à Clemenceau et à de Lattre qui « ont cru et incarné cette volonté nationale, elle-même faite de tant de contraire, mais unie et forte, quand il le faut, il n’y a pas de raison de douter de la France ». Y figure les noms des victimes des guerres 14/18, 39/45, Indochine et Algérie.
Le Monument aux Morts de St Germain l'Aiguiller:
Monument inauguré le 24 mai 1920 par Mr VALETTE, Maire. Ce serait un artisan de Bazoges en Pareds qui l’aurait créé selon le croquis de Mr Phelippeau. Les noms gravés ont été repeint en 2013. Le mur en bordure du calvaire a été construit en 1995Le Sacré-Cœur :
Dans le jardinet, au chevet de l'Eglise, face à la Mairie, est celui qui se dressait naguère sur une colonne de 8 m de haut près de l'ancienne gendarmerie « Monuments aux Morts de 1870 ».
La statue du sacré cœur est un monument rare, une dizaine de monuments de ce type, seulement, existent en Vendée.
La Stèle du Maréchal de Lattre :
Avec médaillon et texte de Gaston Bonheur … Face à la mairie. Mémorial ayant valeur de « relique », venant de la Base de Sétif (Algérie)
Le Mémorial des combattants de l'union Française en Indochine :
Il représente le Maréchal de Lattre entouré d’un vietnamien, d'un africain, d'un maghrébin, d'un soldat de race blanche (visage de son fils Bernard mort en Indochine). Il matérialise la dimension cosmopolite des forces armées commandées par le Gal de Lattre pendant toute sa carrière. Inauguré le 2 mai 1998 par Jean-Pierre MASSERET, en présence de Mme la Maréchale de LATTRE de TASSIGNY, de nombreux élus, entourés de 375 drapeaux exprimant la fraternité des générations ayant vécu le feu de la guerre. Il est l'oeuvre du sculpteur vendéen Henry MURAIL.Les Tombes au cimetière de la rue du 8 Mai:
Au cimetière communal Rue du 8 Mai reposent le Maréchal Jean de Lattre de Tassigny, son fils Bernard tué en Indochine, et son épouse Simonne de Calary de Lamazière.